Generation X
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon : la prochaine extension ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous« Invité »Invité


Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Vide
MessageSujet: Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe   Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe EmptyLun 1 Nov - 22:00

Nouveau mutant détecté

Rapport du Cerebro



Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Avap07
feat. Alex Pettyfer
état civil ←

Nom Cooper

Prénom(s) Devonte Evan

Age 21ans

Emploi/études Etude en Droit

Groupe Etudiant

Recensement effectué

who i am ←

Caractère
Alors, comment me décrire en un seul mot? Je ne le sais pas, il y a tellement de synonyme pour me dévoiler. Clown, Imbécil, Comique, Fêtard également. Et oui, je suis un vrai phénomène et je l'assume. D'ailleurs, j'assume également le fait d'être un mutant ainsi que mon pouvoir, même si cela-ci me pose quelques inconvénients aussi. J'aime beaucoup me faire remarquer, rigoler, faire des blagues et des bêtises. Oui, un vrai gamin dans l'âme comme disent mes amis. Je suis un jeune homme très attentif aux autres, j'aime être entouré de mes amis, rigoler avec eux, sortir avec eux aussi. Beaucoup diront que je suis instable mentalement, que je ne tiens pas en place, que je suis même assez lourd mais qu'importe, je suis ainsi fait.

Je suis donc une personne de très sociable qui respecte que les mutants, néanmoins, j'ai beau avoir du respect pour les autres si ceux-ci n'en ont pas pour moi je les envoie à la merde. Oui, j'ai beau être un comique, je suis néanmoins assez...colérique. Et oui, mes émotions prennent souvent le dessus sur le pauvre petit homme que je suis. Je suis en amour, un garçon fidèle mais qui malheureusement pour moi, tombe très vite amoureux et je vous jure que ça fait mal. Maladroit comme pas deux, il n'arrive pas un jour sans que je ne fasse une catastrophe comme un...Oups, il y avait une marche et hop le café sur le premier venu! Vous voyez le style! Je n'aime pas étudier c'est une certitude, néanmoins, mon niveau scolaire est assez bon, même si je passe le plus claire de mon temps à faire rire la galerie!

Je n'aime pas me battre, enfin, faire la guerre quoi. Je trouve que la guerre déclenchée contre les mutants est totalement débile, que cela ne rime à rien, que nous sommes tous égaux. Bref, j'ai des idées bien à moi, ce que je désire c'est que la paix règne une bonne fois pour toute...pour ça, il faudrait que les confréristes valsent dans la poubelle, mais apparemment les éboueurs ne sont pas près de passer.

J'aime
Me marrer, ennuier les autres, faire des blagues, rigoler, dormir, la musique et bien sûr les filles.

Je déteste
La guerre, la confrérie, me battre, les araignées "Trop de pattes à mon gout" , les souris "Sa pue, c'est tout poilu et en plus sa mange tout, même mes slipe!", les clowns en porcelaine "Ils ont une sale tête".

J'ai peur de
J'ai peur de perdre mon pouvoir, de redevenir comme avant, normal.



Apparence
Physiquement comment je suis? Beau gosse, un Apollon, la huitième merveille du monde. Hum, hum, je m'égares. Non? Ben je continue alors? Ok, je reprens mon sérieux. Alors, je suis blond avec de courts cheveux toujours en l'air et en bataille. J'ai un visage assez fin et mystérieux, mais toujours orné d'un magnifique sourire mesquin qui en fait craquer plus d'une. Je suis de taille normale, 1m75 avec une musculature assez avancé. Je suis d'apparence très fin, mais les filles ne vous fiez pas à ça, nous savons que mon corps vous fait rêver! Même ma maman elle dit que je suis beau alors hein. Niveau vestimentaire je m'habille comme les autres personnes de mon âge, cela veut dire à la mode tout simplement. J'ai deux tatouages, un sur le torse et un autre sur le bras. J'ai un regard extrêmement profond et d'une douceur étonnante, cela surprend pas mal de monde maisen bien. J'ai également une force étonnante dans mes mains, je sais bien me battre aillant fait pas mal de sports de combats.

Signe particulier
Une longue cicatrice tout le long du torse.

the mutation ←

Nom mutant
I'am the Fool

Pouvoir
Je suis capable de copier le pouvoir des autres par un simple contacte physique, malheureusement, ce pouvoir ne se contrôle pas du tout et même avec de l'entraînement. J'ai néanmoins la faculté de garder le pouvoir copié pendant trois jours, pas sans conséquences je vous rassure.


Classe Classe deux.
Forces, faiblesses, limites
Ma force: Je peux copier les pouvoirs des autres, donc, je sais manier un peut de tout et rien du tout en même temps. J'ai une force vitale très puissante, cela fait que je ne m'épuise pas rapidement. J'ai réussis à avoir cette force avec de l'entraînement, cela n'est pas venu tout seul

Mes faiblesses: Aucun contacte physique...Voilà ma plus grande faiblesse, ou alors la personne concerné doit s'attendre à se sentir assez faible pendant un moment assez long. Cela ne m'empêche néanmoins pas un petit bisous vite fait, mais celui-ci ne doit pas durer plus de trois secondes.

Mes limites: Pour l'instant ma limite est mes gants et pas de contacte, je n'en connais pas d'autres. Ha si, le faite de garder un pouvoir trois jours m'épuise énormément, je deviens alors extrêmement faible au point de ne plus savoir rester sur mes deux jambes.


once upon a time ←

Je vais vous conter ma vie, une vie éternellement triste et qui ne m'a jamais fait de cadeau. Je vais vous faire part de mes souvenirs, heureux, malheureux, tendres, douloureux... Vous allez comprendre que j'ai du courage, que je suis une demoiselle avec une drôle d'histoire. Attendez-vous au pire, car je ne vais pas censurer les détails, vous devez tous comprendre. De ma naissance à ma mort, de ma renaissance à ce gouffre noir dans le quel je suis retombée. Vous vous dites que j'en fais tros... Que cela ne doit pas être si terrible...Bien sûr, en apparance je ne laisse rien parraître, mais une fois que vous aurez lu ma triste existance, peut-être arriverez-vous à lire cette souffrance qui règne dans mes yeux.

Dix huit ans en arrière...

Je venais au monde, petite garçon aux yeux bleus comme l'océan. Une mère nommé Maria Cooper et un père Maxime Cooper. J'étais encore tros petit pour savoir se qu'ils étaient, tros innocent pour savoir se qui m'attendais. Doux petit ange, voila comment on me nommai, j'étais un cadeau du ciel c'est se qu'on disait. Je suis née en Italie, dans un hôpital comme tans d'autre, je ne faisais pas exception. Enfin, c'est se que je pensais. Mes parents étaient riches, des gens hauts placés dans ce pays mais je n'en avais que faire, je ne comprenais rien. Simple humain que je suis, j'étais loin de savoir que des êtres autres que des humains vivaient dans le monde, je ne le saurais sûrement jamais. Mais revenons à moi, à ma vie. Quand je suis née, mon visage parru dans tous les articles et la presse. L'enfant prodigue comme disaient les journalistes...Pourquoi? La raison? Ma mère était censée être stérile, elle ne pouvait donc pas avoir d'enfant. Les médecins se trompaient, car un ans auparavant, alors que tous son espoir avait disparu, elle tomba enceinte sans le vouloir. Comme quoi, la vie nous réserve bien des surprises. Mon père était honnoré d'avoir enfin un enfant. Mais la vie ne m'a pas faite ainsi, un mutant j'étais et je resterais. Dés que je croisa son regard, je vis la déception ancré dans celui-ci. Je ne sais comment, ni pourquoi mais je sus rapidement que lui ne m'aimerai jamais réellement. Par contre, dans les yeux de ma mère, je voyais cette bonté, cette douceur et cet amour qu'elle me procurrerai. Certes, je n'étais qu'un bébé, une poupé fragile, de porcelaine. Pourtant, je savais déja se qui m'attendai. On dis que les enfants dés leurs naissances sont extrêmement intelligents, mais que, ils oublient tous en quelques heures. Moi aussi j'ai oublié mais pas entièrement...

Petite garçon que j'étais oublia après quelques heures les choses de la vie, je deviens un enfant comme les autres mais néanmojns déja connu. L'étiquette de l'enfant prodigue allait-elle me coller à la peau? J'espérais que non... Vous savez, les bébés pensent aussi, ils ne sont pas bêtes, ils ne savent simplement pas s'exprimers comme les adultes. Allez savoir, moi je me souviens de quelques trucs de mon enfance alors que je n'étais qu'un bébé de quelques jours... Vous allez me trouver fou, mais je peux vous le jurer, jamais je n'oublierais ses choses qui m'ont troublées. Le regard de mon père quand il me prit dans ses bras, ce regard de déception que je ne sois pas un fils normal. J'aurais voulu oublier mais cette image restera à jamais ancré en moi, comme si on me l'avait écris au fer rouge, brûlant, ardent sur la peau. Quand ma mère sorti de l'hôpital, elle engagea une nourrice pour s'occuper de moi, elle n'avait pas de temps à me consacrer car déja elle devait retourner travailler. L'amour d'une mère est étentielle pour grandire, moi, je ne l'ai pas reçue je l'ai juste vue dans son regard...Cela n'était pas suffisant. Mon père, lui, me prêtait que peux d'attention. Bien sûr, devant la press, j'étais son petit garçon chéri, son bébé qu'il attendait temps. Les apparances sont trompeuses, déja à cet âge la je le comprenais. Ma nourrice s'occupait bien de moi, mais elle ne remplacera jamais ma génitrice absente et ce géniteure déçu. Malgrés moi, je grandissais, je devenais un petit garçon fragile, en manque de ses parents. Pourtant, j'appris extrêmement vite à sourire... Des petits sourires furtifs au début, puis de plus en plus lumineux, grands, beaux.

Ce sourire d'enfant innocent que je garderais toute ma vie...Un sourire qui apelle au secour sans que personne ne le comprenne, même pas moi d'ailleurs. Ce sourire ne s'éffacera jamais de mon visage, plus tard, je garderais cette sale habitude. Sourire pour plaire...plaire pour un simple sourire. Très vite, on s'aperçu que j'étais extrêmement maladroit et actif, que je bougeais dans tous les sens. Quand je ne savais pas marcher, je rampais sur le sol, dés que je su tenir sur mes jambes je courrais partout dans ma grande maison. Malheureusement, il n'était pas rare que je tombe, me cogne la tête bien plus que les enfants normaux. J'étais une Mister Maladroit... Mes parents n'étaient jamais la pour voirs mes chutes, ils étaient toujours au travail, me laissant seule avec ma nourrice, avec mes appels de détresses incompris des autres. J'avais hérité des cheveux de ma mère, blonde comme les blés, des cheveux brillants parfois lisses, parfois bouclés. J'avais néanmoins les yeux de mon père, des yeux d'un bleu océan, azure sublime. Des yeux profonds, qui, derrière cette beauté, cachait une souffrance, un manque qui gradissait avec les années. Quand ma mère rentrait du travail, je tendais les bras vers elle, elle me prenait dans ses bras mais tous simplement pour me mettre dans mon parc. Son amour serait-il déja envolé? J'en avais bien l'impression... Mon père, lui, venait simplement déposer un baiser sur mon front puis partait dans son bureau... Et moi dans tous sa? Ben, je regardais dans le vide et je souriais. Parfois, mes parents me demandaient pourquoi je souriais. Je souriais pour ne pas pleurer...Mais la encore, j'étais tros jeune pour le comprendre. Pourtant, déja à cet âge, j'étais courageux. Quand je tombais, je gémissais mais ne pleurais pas. Il était rare de voir mes yeux océans versés des larmes salés sur mes joues d'enfant.

L'innocence est une chose extrêmement rare, une chose que l'on perd avec le temps malheureusement. Comment la reconnaître? Chez un adulte c'est impossible, chez un adolescent aussi. Plongez votre regard dans celui d'un enfant, un petit garçon ou une petite fille, la, vous verez briller une petite flamme qui danse. Cette flamme s'éteind au fur et à mesure que nous grandissons, moi, je l'ai toujours gardé en moi...cette flamme c'était celle de mon espoir.

On grandit, je grandis...Je deviens un petit garçon de cinq ans, cinq années d'appel de détresses, cinq années ou personne ne daigne comprendre se que mon si beau regard veut réellement dire. Celui-ci veut simplement dire: Aime moi, regarde moi, prend moi dans tes bras, sourie moi, sois heureux... Mais pour eux c'était un regard d'enfant, tous simplement. Souvent, je sortais avec mes parents pour me montrer aux journalistes, dire que j'étais bien, que je vivais bien. Mais voila, je mentais, je n'étais pas heureuse. Pourtant, je souriais, mon dieu que je souriais. Ce sourire ne quittait jamais mes lèvres, sans cesse, je courrais dans tous les sens essayant de me montrer le plus joyeuse possible. Cela exapérait mes parents, ils disaient que j'étais une pile électrique, au moins, ainsi, j'attirais leurs attention. En grandissant, je me montrais de plus en plus maladroit. Je tombais de mon lit, les potaux et les arbres n'étaient pas mes amis, je foncais sans cesse dedans... Mais je ne pleurais pas ou rarement... Pour le moment, ma vie n'était basé que sur des appels de détresses, des sourires pour cacher mes larmes.Un petit garçon comme les autres mais plus gâter... Pour essayer de masquer le manque de leurs présences, mes parents me payèrent des cours dans une grande école, des cours de piano, de langue, de chant et de gymnastique. Malgrés ma maladresse, je me montrais très souple, mais aussi intelligent pour mon âge. Je m'appliquais dans tous les domaines, essayant de rendre fière ses parents absents pour mes démonstrations de piano ou la remise de mes bulletins. Je gardais toujours l'étiquette de l'enfant prodigue, mais je n'en avais que faire. Moi, se que je voulais c'était eux, eux qui étaient si souvent absents, eux qui ne voyaient pas se que je réclamais le plus au monde...leur attention!

C'est alors que vient un jour que je me souviendrais toute ma vie, je suis marqué physiquement comme mentalement. On était le 06 Mars, j'étais allongée dans mon lit d'enfant, je dormais car il était tard et j'avais eu une dure journée. Je n'entendis pas ma fenêtre s'ouvre doucement, je n'entendis pas cet homme pénétrer dans ma chambre silencieusement. Celui-ci tenait un flacon dans sa main ainsi qu'une serviette, alors qu'il approchait, j'ouvris doucement les yeux comme sortie de mon si beau rêve. Je pensais que c'était mon père, qui pour une fois, venait me dire bonsoir. Je me trompais... Je sens une main se plaquer contre ma bouche et mon nez, je gémis, je me débat. Rien à faire, je me sens doucement sombrer dans l'inconsience, comme si j'y étais obligée. J'ai essayé de garder les yeux ouverts, mais malgrés moi, je me suis endormie la peur au ventre, le coeur battant.

Je suis directement ammené dans un hôpital le plus proche, soignée, je suis en piteuse état. Selon les médecins, je n'aurais pas su tenir deux jours de plus, que les policiers m'avaient retrouvés à temps. Malheureusement, j'étais marqué à vie. Six cicatrices de brûlures de cigarettes dans les paumes de mes mains. Deux à droite et quatre à gauche... Dix neuf cicatrices dans le dos du à la ceinture qui s'abattait régulièrement dans mon dos, et, neuf sur les jambes. Néanmoins, cela n'était rien comparé à la souffrance mentale que j'ai enduré et que j'endure toujours. Un monsieur venait souvent me voir, c'était un psy. Il me posait des questions, moi, je lui parlait de Pépito un ami imaginaire. Malheureusement, il me dit que celui-ci n'existait pas, que je l'avais inventé mais je ne le croyais pas! Non mais, il était réelle Pépito, sans lui, je serais morte! Alors, j'engueulais le monsieur et celui-ci s'exusait. Il me donnait des dessins pour que je colorie cela me changeai les idées... La nuit, je dormais que rarement, j'avais toujours peur de voir le loup arriver. Quand j'arrivais à trouver le repos, je faisais des cauchemards et me réveillais en hurlant. Malgrés cela, très vite, je me remis à sourire à mes parents et rire avec eux. Pourtant, j'avais maintenant peur de mon père. Dés qu'il m'approchait je reculais, les médecins disaient qu'il devait me laisser du temps, mais moi j'avais peur de lui. Pas que je ne l'aime pas, mais il me faisait penser au loup. Quand enfin, je pu rentrer chez moi, je ne voulais pas dormire dans ma chambre. J'avais bien tros peur qu'une fois de plus il vienne me chercher, on avait beau me dire qu'il était en prison, je ne les croyais pas. Je dormais avec ma mère, mon père, lui, dormait dans le divan... J'aurais voulu lui faire confiance, mais j'avais peur, tros peur. Pour ne pas montrer cette peur qui me dévorait de l'interrieur, je souriais, je courrais dans la maison dés que je su de nouveau rester sur mes jambes. Bien vite, je recommence à tomber partout, me prendre le bord des tables, trébucher dans les escaliers. Mes parents pensèrent que j'étais guérrie alors que justement, je n'étais rien de cela...

Mes parents se remirent à travailler, moi, je repris une vie avec un semblant de normalité. Je ne dormais presque plus mais je ne disais rien à personne, je sanglottais la nuit ma main sur ma bouche, comme j'avais appris à le faire avec le loup. Puis, quand le réveil sonne, je me levais l'air de rien en souriant. Un jour, alors que j'avais huit ans, ma mère s'approcha de moi et posa ses lèvres sur ma joue. Caressant ma jolie tignasse blonde, elle plongea ses yeux verts dans mes yeux bleus, elle ne souriait pas, elle semblait avoir pleuré toute la nuit. Moi, trop heureuse de ce signe d'affection, je lui sourie merveilleusement bien. C'est alors que c'est le choc, elle m'annonce qu'elle a un cancer en fase terminal. Bien sûr, elle cherche des mots plus simple vu que j'étais encore petit. Deux mois plus tard, elle mourru dans un lit d'hôpital et je me suis retrouvé seul avec mon père. Celui-ci fut énormément affecté par la mort de sa femme, il plongeait les yeux fermés dans son travail me laissant avec ma nourrice. Je me retrouvais une fois de plus avec ce manque d'affection évident, mais caché sous ce sourire d'ange. Je faisais se que je pouvais pour aider celui-ci, j'avais de bonnes notes à l'école, beaucoup d'amis...J'essayais d'être calme quand il était la, ne pas courrire dans tous les sens même si c'était très dur. Mais lui, il ne semblait ne rien voir, alors, j'en souffrais énormément et la nuit je pleurais pour lui, avec lui le départ soudain de ma mère. Elle me manquait tellement... Je m'en rendais compte en regardant sa photo sur ma table de nuit, parfois, je passais mes petits doigts sur la surface lisse du cadre espérant retrouver la chaleure humaine qu'elle me procurait. Mais, le cadre était froid, froid comme la neige...

Voila un ans que ma mère est morte, j'avais presque dix ans à présent, je comprenais mieux les choses. Je dormais toujours aussi mal, je faisais toujours ses horribles cauchemards et j'étais suivie par ce même psy qui ne semblait pas comprendre ma détresse. Je voyais mon père sombrer lui aussi, mais cela me faisais peur car il était de plus en plus triste, découragé. Allait-il m'abandonner? J'en avais bien peur. Un jour, alors que je revenais de l'école, des voitures de police se trouvaient devant notre villa privé en Italie. Curieuse, je veux rentrer chez moi, les policiers je les apellais toujours les moutons, une habitude que j'avais maintenant. Alors que je veux passer, un des policiers m'en empêche, je le regarde droit dans les yeux et je comprend. C'est étrange comme j'ai cette facilité de lire dans le regard des gens, de savoir se qu'ils veulent me dire sans le faire, alors que eux, ne savent rien lire dans les miens. Je tourne lentemement les yeux vers la porte de la villa, avant même qu'il aille pu me retenir une seconde fois, je me mis a courrire vers l'interrieur en hurlant après mon père. Je trébuche et tombe en avant, c'est à ce moment la qu'un brancard sors de chez moi poussé par des hommes. Un corps était posé dessus, couvert d'un drap blanc, je hurle encore et encore et je pleure. Il m'avait quitté, il n'avait pas le droit de me quitter pourtant il l'avait fait. Avais-je aussi peux d'interet à ses yeux pour qu'il s'en aille sans moi? Apparemment... Un des moutons me rattrape et me soulève, je ne me débat pas, mes yeux rivés sur le drap blanc.

Je sais que je n'ai jamais eu réellement de valeur à ses yeux, la déception dans son regard lors de ma naissance restera à jamais gravé dans ma tête. Puis, je n'avais que onze ans quand il quitta cette terre pour retrouver celle qu'il aimait. Et moi dans tous sa? Avait-il sulement pensé à moi? Sans père, sans mère... Je ne suis pas le seul dans ce cas, je le sais, mais j'avais besoin d'eux. Je regrette de ne pas les avoirs serrés dans mes bras plus que je ne l'ai fais, je regrette de leurs avoir attirés des problèmes avec le loup, ma maladresse, mes sourires cachant ma détresse. Mais cela est-il une raison valable pour me quitter? Pour lui...oui. Car d'un fusil il se muni, sur sa tête il le mit et sur la cachette il appuya. Ce jour là je dévoile mon don en aillant un contacte avec un mutant, heureusement ce mutant était de l'Institut ou il m'enmena rapidement et ou j'ai refais ma vie.

the real me ←

Pseudo angel
Age 17ans
Comment j'ai connu le forum par alex'
La raison de mon inscription superbe fofo
Mon niveau de RP Ben je ne sais pas assez bon
Fréquence de connexion 7/7
Un dernier mot ?
nop


Dernière édition par Devonte E. Cooper le Lun 1 Nov - 23:32, édité 12 fois
Revenir en haut Aller en bas
Emma G. Frost« Emma G. Frost »HBIC
Head Bitch In Charge

Messages : 360
Age : 34 ans



Gène mutant repéré
Nom mutant : la Reine Blanche
Classe : 4
Pouvoir : Télépathie avancée ; peau de diamant
Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Vide
MessageSujet: Re: Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe   Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe EmptyLun 1 Nov - 22:04

Bienvenue sur GX ! Je ne sais pas pourquoi mais rien qu'au vue de ta citation dans le titre du sujet, je vais kiffer ton personnage xD
Bon courage pour ta fiche et en cas de besoin, fais moi signe (:
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous« Invité »Invité


Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Vide
MessageSujet: Re: Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe   Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe EmptyLun 1 Nov - 22:05

Emma à raison, je sens que ton perso va valoir le coup d'oeil ^^
Bienvenue et bon courage pour ta fiche!
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous« Invité »Invité


Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Vide
MessageSujet: Re: Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe   Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe EmptyLun 1 Nov - 22:07

Merci, je vous rassure mon personnage va vous faire délirer.
Revenir en haut Aller en bas
Lesly D. Anderson« Lesly D. Anderson »Here's the Death : The Time's Mover.
Messages : 895
Age : 20 ans



Gène mutant repéré
Nom mutant : Timeless
Classe : 3
Pouvoir : Manipulation du cours du temps
Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Vide
MessageSujet: Re: Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe   Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe EmptyLun 1 Nov - 22:12

Je voudrais bien voir ça Smile
En tout cas, soi la bienvenue! Et bon courage pour ta fiche!
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous« Invité »Invité


Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Vide
MessageSujet: Re: Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe   Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe EmptyLun 1 Nov - 23:31

et voila, je pense avoir terminé
Revenir en haut Aller en bas
Alexandre Y. Ashton« Alexandre Y. Ashton »Homo Superior
Messages : 125
Age : 19ans



Gène mutant repéré
Nom mutant : Tempête
Classe : 4
Pouvoir : Contrôle de la météo
Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Vide
MessageSujet: Re: Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe   Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe EmptyLun 1 Nov - 23:37

Bienvenue, histoire intéressante pour ton personnage et son caractère.
Fiche validé bon jeu
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous« Invité »Invité


Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Vide
MessageSujet: Re: Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe   Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe EmptyMar 2 Nov - 10:36

en c'est même pas drole tous le monde prend les memes pouvoirs mdr!
Bon jeu =)
Revenir en haut Aller en bas
« Contenu sponsorisé »


Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Vide
MessageSujet: Re: Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe   Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Oups, il y avait une marche.-Une vie tragique, un homme complexe

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Generation X :: Epilogue :: Archives :: Identity Card-
Sauter vers: